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Dirección
C. Roso, 2, 31500 Tudela, Navarra
Teléfono
948 40 21 83
Web
https://museodetudela.com/museo/catedral/
Instagram
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Ubicación
42.06335, -1.6055
Descripción corta
La cathédrale est le principal monument de la ville, et l'un des monuments les plus remarquables de la Navarre monumentale.
Descripción larga
Il s'agit d'un temple médiéval dont la construction a commencé au XIIe siècle en style roman et s'est terminée au XIIIe siècle en style gothique. Il a été déclaré monument national pour son intérêt historique et artistique en 1884.
Au fil des siècles, Il a subi des transformations et des agrandissements, visibles à l'intérieur comme à l'extérieur, qui nous ont laissé le meilleur de chaque style : retables gothiques, chœur Renaissance ou chapelles et tour baroques.
La cathédrale est le principal monument de la ville, et l'un des monuments les plus remarquables de la Navarre monumentale.
L'édifice a été conçu comme la collégiale de Santa María, et il est resté ainsi jusqu'en 1784, année où il a été élevé à la dignité de cathédrale par Pie VI, à la demande du roi Charles III.
En raison de son importance historique et artistique, elle a été déclarée monument national en 1884.
La construction a commencé à la fin du XIIe siècle, au moment où la mosquée située dans cette zone fût détruite. Une partie de son architecture correspond au style roman et au fur et à mesure de l'avancement des travaux, c'est le nouveau style gothique du XIIIe siècle qui prend le dessus.
C'est un bâtiment qui suit les tendances de l'architecture hispano-languedocienne, construit selon les préceptes de l'ordre cistercien. Elle a été construite en pierre de taille bien équarrie. En 1188, on procède à la dévotion de ce qui avait été érigé jusqu'alors, de sorte que les travaux étaient déjà suffisamment avancés pour qu'on puisse les mettre en œuvre. L'archevêque de Tarragone, Don Raimundo de Rocabertí, a consacré l'autel en 1204.
Son plan en croix latine comporte trois nefs de quatre travées chacune, dont la nef centrale et principale est la plus large et comporte des travées rectangulaires, surmontée d'un transept de cinq travées et d'un chevet avec une profonde abside centrale, tandis que les nefs latérales ont des travées carrées.
Les toits utilisés pour les nefs latérales et le transept sont des voûtes à nervures trilobées qui convergent vers des clés de voûte décorées de thèmes végétaux, floraux et héraldiques. Le système de couverture du chœur se compose d'une abside principale avec une toiture en voûte d'arête, de deux chapelles latérales avec une voûte en four et de deux autres chapelles latérales couvertes de voûtes d'arête.
Étant donné que son architecture suit les principes cisterciens, la décoration est éparse et appliquée à des points précis, ce qui favorise les éléments architecturaux, notamment les chapiteaux.
Cette structure médiévale originale a fait l'objet de travaux constants tout au long de son histoire, tant en termes d'extensions que de restaurations et d'améliorations. Ainsi, à l'intérieur de ce temple impressionnant, on trouve des œuvres dans les styles les plus divers.
À l'extérieur, il y a trois portes : la plus ancienne est celle de la Vierge, au sud ; au nord, celle de Santa María, et à l'ouest, au pied de l'église, la porte principale, connue sous le nom de Puerta del Juicio (porte du jugement). Cette dernière est d'une exécution compliquée et remarquable, tant dans son ensemble que dans le détail du symbolisme représenté dans la sculpture monumentale. De plus amples informations sont données sur la porte elle-même.
À l'extérieur également, la Torre Nueva (nouvelle tour), datant du XVIIe siècle, se distingue. Il s'agit d'une construction spectaculaire, élevée avec un effort architectural notable, de style baroque mudéjar.
À l'intérieur de l'église, il y a de nombreuses chapelles avec des dédicaces différentes : le maître-autel avec son impressionnant retable gothique dédié à Santa María, celui de San Joaquín avec le retable de Santa Catalina, celui de San Martín avec une belle grille plateresque, celui de San Juan Evangelista (où se trouve la Virgen Blanca), celui de La Dolorosa (retable baroque), celui de Santa Ana (splendide baroque, présidé par la sculpture gothique de la patronne), la chapelle également baroque de l'Espíritu Santo ou la chapelle gothique de la Virgen de la Esperanza (Vierge de l'Espérance).
Dans ce rapide aperçu, nous mentionnerons également le chœur Renaissance, le bel orgue baroque, la sacristie, la salle capitulaire et, bien sûr, le cloître roman de la cathédrale, qui fait partie du musée de Tudela.
La cathédrale peut être visitée depuis le musée de Tudela, sauf pendant les heures de culte, et il existe également des visites guidées de l'église.
Au fil des siècles, Il a subi des transformations et des agrandissements, visibles à l'intérieur comme à l'extérieur, qui nous ont laissé le meilleur de chaque style : retables gothiques, chœur Renaissance ou chapelles et tour baroques.
La cathédrale est le principal monument de la ville, et l'un des monuments les plus remarquables de la Navarre monumentale.
L'édifice a été conçu comme la collégiale de Santa María, et il est resté ainsi jusqu'en 1784, année où il a été élevé à la dignité de cathédrale par Pie VI, à la demande du roi Charles III.
En raison de son importance historique et artistique, elle a été déclarée monument national en 1884.
La construction a commencé à la fin du XIIe siècle, au moment où la mosquée située dans cette zone fût détruite. Une partie de son architecture correspond au style roman et au fur et à mesure de l'avancement des travaux, c'est le nouveau style gothique du XIIIe siècle qui prend le dessus.
C'est un bâtiment qui suit les tendances de l'architecture hispano-languedocienne, construit selon les préceptes de l'ordre cistercien. Elle a été construite en pierre de taille bien équarrie. En 1188, on procède à la dévotion de ce qui avait été érigé jusqu'alors, de sorte que les travaux étaient déjà suffisamment avancés pour qu'on puisse les mettre en œuvre. L'archevêque de Tarragone, Don Raimundo de Rocabertí, a consacré l'autel en 1204.
Son plan en croix latine comporte trois nefs de quatre travées chacune, dont la nef centrale et principale est la plus large et comporte des travées rectangulaires, surmontée d'un transept de cinq travées et d'un chevet avec une profonde abside centrale, tandis que les nefs latérales ont des travées carrées.
Les toits utilisés pour les nefs latérales et le transept sont des voûtes à nervures trilobées qui convergent vers des clés de voûte décorées de thèmes végétaux, floraux et héraldiques. Le système de couverture du chœur se compose d'une abside principale avec une toiture en voûte d'arête, de deux chapelles latérales avec une voûte en four et de deux autres chapelles latérales couvertes de voûtes d'arête.
Étant donné que son architecture suit les principes cisterciens, la décoration est éparse et appliquée à des points précis, ce qui favorise les éléments architecturaux, notamment les chapiteaux.
Cette structure médiévale originale a fait l'objet de travaux constants tout au long de son histoire, tant en termes d'extensions que de restaurations et d'améliorations. Ainsi, à l'intérieur de ce temple impressionnant, on trouve des œuvres dans les styles les plus divers.
À l'extérieur, il y a trois portes : la plus ancienne est celle de la Vierge, au sud ; au nord, celle de Santa María, et à l'ouest, au pied de l'église, la porte principale, connue sous le nom de Puerta del Juicio (porte du jugement). Cette dernière est d'une exécution compliquée et remarquable, tant dans son ensemble que dans le détail du symbolisme représenté dans la sculpture monumentale. De plus amples informations sont données sur la porte elle-même.
À l'extérieur également, la Torre Nueva (nouvelle tour), datant du XVIIe siècle, se distingue. Il s'agit d'une construction spectaculaire, élevée avec un effort architectural notable, de style baroque mudéjar.
À l'intérieur de l'église, il y a de nombreuses chapelles avec des dédicaces différentes : le maître-autel avec son impressionnant retable gothique dédié à Santa María, celui de San Joaquín avec le retable de Santa Catalina, celui de San Martín avec une belle grille plateresque, celui de San Juan Evangelista (où se trouve la Virgen Blanca), celui de La Dolorosa (retable baroque), celui de Santa Ana (splendide baroque, présidé par la sculpture gothique de la patronne), la chapelle également baroque de l'Espíritu Santo ou la chapelle gothique de la Virgen de la Esperanza (Vierge de l'Espérance).
Dans ce rapide aperçu, nous mentionnerons également le chœur Renaissance, le bel orgue baroque, la sacristie, la salle capitulaire et, bien sûr, le cloître roman de la cathédrale, qui fait partie du musée de Tudela.
La cathédrale peut être visitée depuis le musée de Tudela, sauf pendant les heures de culte, et il existe également des visites guidées de l'église.
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